Marathon de Paris

Bruno, les salopardos ne pourront pas s'en sortir sans les conseils avisés de Maitre Peyra.
Il te reste 10 jours pour te réparer. 10 jours c'est beaucoup. Repos et Voltarene.
Le 7 c'est Captain "red wine" Peyra qui mènera les troupes vers le succès.

putain le coup dur.
abandonner suite à une chute de pochtron c'est vraiment moche.

Tu as toujours su rebondir suite à tes différents pépins physiques red winisants.
Je ne vois pas pourquoi cette douleur ne disparaitrait pas.
On a besoin de ta science de la course pour le d-day.
et un bon coup d'ostéo en mode rickash?

oh la grosse tuile ! Tu as du faire une chute monumentale pour etre à 2 doigts d'une fracture lourde (je ne connaissais pas la nuance entre fracture légère et fracture lourde). Vois comment cela évolue d'ici fin de semaine et avise ... courage camarade

Partant du principe que mon médecin n'est pas plus légitime que moi pour décider ou non de participer au marathon, je ne perds pas tout espoir. Quand je vois ma gueule de nenesse sur l'affiche, je me dis que je ne peux pas ne pas faire partie de l'aventure... Merci pour vos messages de soutien.

Un message guerrier du Peyrao. Voilà ce qu'il nous faut. Tu vas galvaniser les salopardos.
Ce matin, petit trottinage : 8 km. Peu de sensations et genou douloureux.
Temps froid. Je suis sorti en triple épaisseur padam padam.

Peyraouche.... essaye de te trouver un swissball (gros ballons en plastoque... chez décathlon) et faire des exos de remise en place du bassin.
ça permet de bosser le gainage des fessiers et de la sangle abdominale pour te renforcer ton p'tit cucul.

courage mec !

8 kms mercredi à mon allure marathon (5'30 du kil)
3*5 prévus ce week-end

je ne bouffe que du poisson depuis une semaine
probablement le moment le plus dur de la préparation !

besos

j

apero saucisson/champagne, magret de canard/patates sautées/Médoc, Fromage +dessert....j'ysuis pas du tout les zamis. Pas couru depuis dimanche dernier, il faut vite que le 7 avril arrive,suis en train de kécra ....

apres le festin d'hier, reprise en main ce matin après un lever à 7h00 (les enfants sont formidables ...) : 55mn tranquille entre 2 averses, allure marathon (11,3km/h de moyenne). Je programme un 45 mn mardi puis un dégourdissement des jambes samedi (ensemble?) sur place à Paname. OUHHHHHHHHHHHH on y est les amis, on y est ...

Semaine où j'ai eu le sentiment de sortir de l'objectif Marathon. En effet, on était préoccupé par l'état de santé de Jeanne qui a un problème au pied (pour résumer, elle boite au bout de 200m de marche...).
On a consulté un médecin du sport qui nous a confirmé qu'elle avait la maladie de Sever (le nom qui fout les jetons!), à savoir une douleur au dessus du talon d'achille chez les enfants en pleine croissance et ayant une activité sportive soutenue. Cela se soigne uniquement par du repos. Résultat: aucune activité physique pendant 3 mois (c'est à dire jusqu'à interdiction de courir dans un jardin ou dans la cour d'école..). Pas évident pour une enfant de 9 ans! D'autant plus que l'on n'est pas certain qu'au bout de 3 mois elle sera sortie d'affaire...

Du coup reprise en main du training ce WE avec deux sorties du même acabit (environ 1 heure à la cool) vendredi soir et ce dimanche. Toujours pas dépassé les 10 ° celsius depuis le début de la prépa!
La semaine prochaine va être très très longue.
Encore une dernière ballade en milieu de semaine et puis le grand départ...

bises à tous.


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On a consulté un médecin du sport qui nous a confirmé qu'elle avait la maladie de Sever (le nom qui fout les jetons), à savoir une douleur au dessus du talon d'achille chez les enfants en pleine croissance et ayant une activité sportive soutenue. Cela se soigne uniquement par du repos. Résultat: aucune activité physique pendant 3 mois (c'est à dire interdiction de courir dans un jardin ou dans la cour d'école..). Pa



Semaine où j'ai eu le sentiment de sortir de l'objectif marathon. En effet on était préoccupé par l'état de santé de Jeanne qui a un problème au pied (pour résumer, elle boite au bout de 2000m de marche...).
On a consulté un médecin du sport qui nous a confirmé qu'elle avait la maladie de Sever (le nom qui fout les jetons), à savoir une douleur au dessus du talon d'achille chez les enfants en pleine croissance et ayant une activité sportive soutenue. Cela se soigne uniquement par du repos. Résultat: aucune activité physique pendant 3 mois (c'est à dire interdiction de courir dans un jardin ou dans la cour d'école..). Pa
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Semaine où j'ai eu le sentiment de sortir de l'objectif marathon. En effet on était préoccupé par l'état de santé de Jeanne qui a un problème au pied (pour résumer, elle boite au bout de 2000m de marche...).
On a consulté un médecin du sport qui nous a confirmé qu'elle avait la maladie de Sever (le nom qui fout les jetons), à savoir une douleur au dessus du talon d'achille chez les enfants en pleine croissance et ayant une activité sportive soutenue. Cela se soigne uniquement par du repos. Résultat: aucune activité physique pendant 3 mois (c'est à dire interdiction de courir dans un jardin ou dans la cour d'école..). Pa






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@Dass : tu m'étonnes que ça vous a plombé cette histoire ... les boules ces symptomes/maladies dont on a jamais entendu parlé ... bises et à Jeanne et la famille

Double repas pascal ce WE au cours desquels j'ai 1 peu craqué niveau bouffe tout en restant très raisonnable au niveau du vin. J’espérais beaucoup du WE quant à une amélioration du coccyx. Résultat aucune amélioration. Ayant l'intention de prendre le départ, j'ai donc recouru hier soir après 8 jours d’arrêt. L'idée étant de courir 10km à allure marathon. Ce fut l'enfer au début puis la douleur s'amenuise 1 peu progressivement. Il n’empêche, à chaque pas c'est comme si je recevais 1 gros coup de bâton dans le cul. J'ai quand même du mal à me dire que je vais en recevoir 42 000 dimanche prochain. Je ne vois pas comment je vais pouvoir supporter ça...J'ai surtout les boules car je ne vais pas prendre de plaisir les 25 1ers km comme ça doit être le cas quand on est bien préparé.
Allez j’arrête de m'apitoyer, j'ai quand même hâte de tous vous retrouver le WE prochain.
Désormais travail psychologique et prières.
Bises
Peyrao

Salut,
Nous voilà dans la dernière ligne droite. J'ai hâte de vous retrouver et de partager ce moment ensemble.
Pour moi : 3 séances récentes.
Vendredi : séance allure marathon de 9km
Dimanche : 13 km allure marathon à la Baule. Temps ensoleillé mais glacial. Cela reste extra de courir le long de la plage
Lundi : 5 km de footing

Suis resté assez fort durant ce WE de vacances : poisson au resto, quelques mini oeufs mais pas plus. Désormais effet jean baggy ...

Big up aux blessés : coq', SudAf' et Jeanne

a+

partage d'un article de runners.fr qui met dans le bain ...

H – 45 minutes : échauffement et gestion du stress
L’échauffement doit remplir un simple rôle de mise en jambe. D’abord quelques foulées sur un rythme lent. Après cinq minutes, le tempo s’accélère progressivement jusqu’à atteindre une allure de footing habituelle. Les trois dernières minutes seront légèrement accélérées jusqu’à atteindre une allure seuil. 20 minutes en tout suffisent.

L’échauffement se poursuit par quelques étirements activo-dynamiques et trois lignes droites d’une centaine de mètres en accélération progressive, avant de rentrer dans le SAS de départ. L’organisme est en alerte. Vous êtes prêt…

Le départ : s’installer aussi vite que possible dans son allure
Le seuil de vigilance de l’organisme est à son paroxysme. Il faut rester serein, déclencher son chrono et éviter les bousculades. A cet instant, l’adrénaline de la compétition masque le ressenti du coureur et l’emmène généralement sur un rythme qui, bien que confortable, est trop soutenu. Ne pas tomber dans ce piège et temporiser immédiatement !

Un temps de passage au premier kilomètre de 5 secondes inférieur au chrono visé est gérable. A 10 secondes, le risque est plus prononcé. Au delà, une fin de course périlleuse se dessine : les secondes gagnées dans le premier tiers de course peuvent se payer en minutes à l’arrivée.

Deux premiers tiers de la course : tout en contrôle !
La gestion doit être le maître-mot des deux premiers tiers de course. Lucidité totale sur l’intensité de l’effort, sur l’analyse des trajectoires idéales, sur la capacité à suivre le bon paquet lorsque l’on court en groupe. Le rythme doit être le plus régulier possible.

Il faut lisser les à-coups qui coupent les jambes, mais ne pas hésiter à relancer légèrement lorsque le rythme faiblit. Aucune variation de rythme trop brutale n’a encore sa place lors de cette phase : sur le plan musculaire et cardiaque, on atteint une forme d’équilibre.

Derniers kilomètres : place au mental
L’équilibre commence doucement à se rompre dans le dernier tiers de course : on est au 7ème kilomètre d’un dix bornes, au 15ème kilomètre d’un semi-marathon ou au 30ème kilomètre d’un marathon. C’est le juge de paix !

Le rythme devient soudain plus pénible à maintenir. On a maintenant l’impression de devoir accélérer pour maintenir une allure pourtant constante. La fatigue commence à se faire sentir à tous les niveaux. L’essoufflement est plus prononcé, la gestuelle se dégrade lentement et les jambes s’alourdissent sans cesse un peu plus.

C’est ici que les victoires se construisent, ici même que la tentation de baisser les bras devient de plus en plus forte. IL FAUT S’ACCROCHER, ne rien lâcher. Le mental doit prendre le relais. Se fixer de petits objectifs intermédiaires, avancer kilomètre par kilomètre et considérer chaque nouveau kilomètre parcouru sur le même tempo comme une victoire, une pierre de plus à l’édifice de la performance. En cas de coup de bambou, il faut avoir anticipé en amont tous les types de scénarios pour pouvoir se raccrocher à quelque chose : d’où l’intérêt d’avoir envisagé un plan A, un plan B et un plan C !

Dernière ligne droite : le bonheur d’être “finisher”
Êtes-vous sûrs d’avoir tout donné ? La ligne d’arrivée est là, quelque hectomètres encore… C’est le moment d’y mettre tout votre coeur et vos dernières forces. Pensez à ce qui vous motive, aux récompenses qui viendront une fois la ligne d’arrivée franchie : le sourire des proches, la fierté du chrono affiché, la bonne bière à partager entre potes après la course…

Cette partie de course doit donner lieu à en engagement total. Un seul crédo : NE RIEN REGRETTER !

tout d'abord une grosse pensée pour ma p'tite jeannette .. fais lui une grosse bise mon fredovic !

Bien que très motivé et serein concernant les 42 bornes de dimanche, mon inconscient s'est mis en mode marathon...
j'me suis réveillé ce matin avec le souffle court et des courbatures aux gibolles suite au marathon couru cette nuit dans mon rêve.
ASO nous faisait passé à l'intérieur de maison et d'appartement avec 10 étages à monter et descendre par les escaliers avec aucun signalisation... le vrai bordel. On se serait cru au marathon de lyon au niveau de l'organisation (seul marathon sans ligne de départ version 2011!!). j'ai fini mon périple perdu sur le périph parisien....

je viens de faire le plein de pâte complète au leclerc du coin....
Prévu de courir 5km ce soir à 12km/h !

Mon traitement pré-marathon aux antioxydants débuté dimanche commence à faire effet... j'ai envie de tout déchirer... une vraie pile électrique au grand bonheur de mes collègues de boulot... je me suis remis à fumer pour me calmer ... Habile.

vivement que l'on puisse lâcher les chevaux...

Tellement bien résumé l'article posté par Fred. C'est exactement ça.
Perso, nette amélioration du coccyx ce jour. Je revis ! A force de bouffer du Paracétamol et m'enduire le cul d'une pommade miracle conseillée par la madre.
J'ai hâte d'avaler du bitume et me mettre minable.
Bises
Peyrao

Moment génial ce matin

5 derniers kil au réveil, histoire de faire tourner
arrivée devant chez moi
la préparation est finie !
ça fait tellement de bien que je me pince pour y croire

plus que 3 jours pour faire le plein de bravitude en attendant le mur

IDEM pour moi hier soir avec 45 minutes de tournage de gambettes...
ça y'est la prépa est torchée!
Pas certain d'avoir envie de remettre ça tous les ans!

Le récit du jour J me parait très lucide malheureusement... On va vraiment se faire mal aux jambes et à la tête!
Je compte les heures d'ici dimanche.
Trop hâte de me retrouver parmi les 50 000 mongols en short!

Bises

je fais mon paquetage ce soir et depart demain matin pour la capitale ...je vais mettre toute ma garde robe kalenji dans la valise... les jeux sont faits, rien ne va plus ...

Dernière sortie hier en douceur malgré le retour de ce putain de rhume... interminable hiver...
Il me tarde de me retrouver dimanche sur le bitume...
A priori il va faire froid en début de course (1 à 3°) et cela devrait monter à 10°... dans ces conditions difficle de démarrer uniquement avec un t-shirt...
Au rayon conseil, mon beauf m'indiquait hier que le mur des 30km était plus une affaire d'hydratation que d'alimentation...
Dit autrement, faut boire beaucoup les derniers jours et tout au long du marathon, au moins 2 ou 3 gorgées par ravito...

Ma dernière course remonte à lundi.
IMC : excellente. Mes pantalons de costumes font désormais l'effet d'un baggy
Nourriture : Démarrage de la séquence pâtes complètes et prises de Malto (pour gonfler les réserves de Glycogène)
Compléments alimentaires : 25 minutes chaque matin pour ingurgiter tout ce que la pharmacienne a réussi à me refourguer
Santé : pour l'instant plutôt bonne. L'inconnue : l'état de mon genou au départ. Je constate qu'il ne me fait plus souffrir en marchant. Je croise les doigts
Sommeil : La nuit de jeudi à vendredi à été ma première nuit difficile.
Motivation : au top
Ma carotte : la saison dernière, je m'étais donné une carotte pour me faire avancer. Un Ipad si je fracturais la barre des 4h. Cette année aucun petit cadeau ne me vient à l'esprit. Il me reste 2 jours. Ca joue son rôle au KM35....

Equipe Mag spécial Marathon demain

Visiblement ils ont oublié de nous interviewer...